Les Russes ont de quoi nous surprendre, souvent. Tantôt ils nous touchent, parfois on a du mal à comprendre leur comportement…
Dans tous les cas, ils nous interrogent. Et voilà qu’au fil d’une discussion à Moscou, on semble me livrer une solution : l’identité russe serait déterminée par l’anxiété du lendemain, surtout quand celui-ci annonce un froid à geler son ours…
Mais est-ce si simple que ça ? En tout cas, cela mérite plus ample réflexion…